Charles Darwin, le père de la théorie sur l'évolution

Darwin caricaturé sous les traîts d'un singe

Ernst Haeckel

Vidéo, la phrénologie

F.J. Gall, le père de la phrénologie

Un appareil de mesure anthropométrique

Phrénologie, gravure à l'eau forte sur acier, dessins de M. de Sainson, détermination de l'angle facial de Camper, date : vers 1838

Chromolithographies publicitaires pour les chaussures Abraham Blum

Détail d'un planche tirée de La race et les moeurs, la revue mondiale mensuelle de tous les problèmes de la question sexuelle, décembre 1930. La mise en parallèle des deux faciès tend à souligner l'infériorité des aborigènes australiens présentés ici comme de proches parents du singe.

Chromolithographie représentant un indigène affublé de traits physiques et comportementaux simiesquess (prognathisme et arboricolisme).

Publicité pour un spectacle prétendant présenter au public un être hybride entre l'homme et le singe.

La laotienne Krao qui fut exhibée comme le chaînon manquant entre l'homme et le singe

J. Dussouchet, Cours primaire de grammaire française, théorie 1005 exercices, 150 rédaction, cours moyen, certificat d'étude, Librairie Hachette, 1921.

 

LA DÉFINITION DU MOT NÈGRE DANS LE GRAND DICTIONNAIRE UNIVERSEL DE PIERRE LAROUSSE, 1872

 

« C’est en vain que quelques philanthropes ont essayé de prouver que l’espèce nègre est aussi intelligente que l’espèce blanche. Quelques rares exemples ne suffisent point à prouver l’existence chez eux de grandes capacités intellectuelles. Un fait incontestable et qui domine tous les autres, c’est qu’ils ont le cerveau plus rétréci, plus léger et moins volumineux que l’espèce blanche, et comme, dans toute la série animale, l’intelligence est en raison directe des dimensions du cerveau, du nombre et de la profondeur des circonvolutions, ce fait suffit pour prouver la supériorité de l’espèce blanche sur l’espèce noire. Mais cette supériorité intellectuelle, qui selon nous ne peut être révoquée en doute, donne-t-elle aux blancs le droit de réduire en esclavage la race inférieure ? Non, mille fois non. Si les nègres se rapprochent de certaines espèces animales, par leurs formes anatomiques, par leurs instincts grossiers, ils en diffèrent et se rapprochent des hommes blancs sous d’autres rapports et nous devons en tenir grand compte. Ils sont doués de la parole, et par la parole nous pouvons essayer de les élever jusqu’à nous, certains d’y réussir dans une certaine limite. Du reste, un fait physiologique que nous ne devons jamais oublier, c’est que leur race est susceptible de se mêler à la nôtre, signe sensible et frappant de notre commune nature. Leur infériorité intellectuelle, loin de nous conférer le droit d’abuser de leur faiblesse, nous impose le devoir de les aider et de les protéger. »

 

 

Dernière page tirée de l'ouvrage de Jean Bruhnes, Races, Images du monde, éditions Firmin-Didot à Paris, 1930. Le commentaire est des plus explicites concernant la place que cet auteur réserve à la race blanche :

 

"Voici groupés autour du tapis vert de locarno, les représentants officiels et typiques de la race blanche en Europe : dolichocéphales et brachycéphales remarquablement caractéristiques. La civilisation la plus élevée s'est épanouie dans cette presu'île de l'Asie : l'Europe, qui ayant subi l'influence des cultures orientales, les a assimilées et transformées, ses quelques millions d'individus ont modifié la face morale de l'univers et fait rayonner leur pensée jusqu'au nouveau monde et aux extrémités de la terre."

Au début de son ouvrage, l'auteur décrit les aborigènes australiens en des termes beaucoup moins élogieux :

 

"Leur mode de vie est des plus primitifs. Leurs fonctions mentales sont faibles. Il leur est impossible de compter et leur esprit ne dépasse pas les nombres un et deux. Par contre, leur floklore est des plus riches."

 

Jeunes filles allemandes sélectionnées pour le Lebensborn